Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
il a du supporter plus que le poids des ans, je présume!
A n'en pas douter, c'est bien du parquet que vous parlez, Joseph !
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