Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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1 commentaire:
Tristesse du beau moment qui se termine...espérons que ce ne soit pas sans espoir de retour
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