Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

L'auberge des orphelins

Quand paraîtra cette page, j'aurai refermé mon blog. Tout cercle tend à rechercher sa fermeture. Néanmoins, hors de toute contingence d'actualité, quelques textes me restaient à publier, comme des rebuts de souvenirs égarés dans les méandres de mon esprit que j'avais à évacuer pour laisser place nette à d'autres cheminements que je ne partagerai pas ici.

Que ce lieu soit alors une modeste auberge, celle de la Grande ourse, ou celle des orphelins. Elle accueille ici ceux qui ne savent désormais où aller.

Ces textes viendront ici se réfugier, de temps en temps ad libitum...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Nous sommes sans doute nombreux à ne pas savoir où aller, à penser errer et nombreux à chercher refuge dans le monde virtuel.
Superbe illusion! et je me suis souvent demandé en quoi elle était différente de nos illusions de ce que nous croyons être la réalité.
Comme dans la réalité, nous y trouvons quelques îles où être heureux ou malheureux, selon l'habit que nous voudrons bien porter.
Sur votre île, je suis souvent venue et vous voyez, encore maintenant qu'elle est close...il y reste des parfums, des chants d'oiseaux, des éclairs de tonnerre, des douceurs de soleil.
Je vous remercie de m'y avoir accueillie et vous souhaite de vous fondre dans de vrais sourires et d'être éclairé par de vrais regards.
Marie

Anonyme a dit…

Mais comment vous écrire à la plume et à l'encre bleue ? Comment vous dire que j'arrive en novembre sur une île désertée depuis des mois et que j'y trouve tellement, tellement de réconforts, de pistes à suivre et d'interrogations. Comment poursuivre ?

Celeos a dit…

Anonyme, si vous désirez écrire, vous avez à votre disposition une adresse de messagerie indiquée dans la colonne de droite du blog.
Concernant l'île, je n'y habite plus, même si je garde de vifs souvenirs d'y avoir passé de belles heures. Mais mon voyage a dû reprendre vers d'autres lieux.