L. m’a téléphoné ce soir.
J’ai aimé le son de sa voix, qui était claire, agréable, sans l’ombre d’une
goguenardise, comme elle peut l’être parfois, et à la limite de l’arrogance.
Mais
je ne suis pas sûr de ne pas aimer également cette arrogance qui lui donne un
côté voyou. Je resterai très distant volontairement.Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
Nous sommes tous ambivalents.
N'est-ce-pas?
C'est ce qui fait tout le charme de l'autre...et la difficulté d'une véritable relation.
Marie
Ambivalents ô combien, Marie, mais pouvons-être autrement ?
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