Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
2 commentaires:
Bouleversant langage des corps.
Ici, transcendé bien sûr.
Mais qui nous accompagne de la naissance à la mort.
Des premiers instants de la vie où nous n'avons encore rien d'autre aux derniers instants où nous n'avons plus rien d'autre.
Langage où se concentre notre humanité, en silence.
Marie
Oui, Marie, ce langage des corps reste d'une inexprimable émotion, celle d'être son propre corps, et dans le sentiment d'être également le corps de l'autre. Réminiscence d'un instant originel peut-être.
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