Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

mardi 24 mai 2016

Garçon d'amarrage


11 commentaires:

joseph a dit…

Titre audacieux!

Celeos a dit…

Il ne me manque plus que le bateau, Joseph !

yves a dit…

pour le bateau, je peux ? sinon, une bouée canard...
mais le titre est trop tentant... du mal à résister. je fais gaffe, j'ai déjà eu des critiques peu élogieuses quant à mes commentaires. un mec - silvano - le genre surement qui rougit quand on prononce le mot bite devant lui !

Celeos a dit…

Je ne pense pas que Silvano soit du genre à rougir, mais il vous le dira peut-être lui-même... Ne vous formalisez pas devant certaine remarque ironiques qu'il a pu vous faire,il n'y avait, j'imagine, rien de méchant.
Arrimez, votre bateau, votre bouée, je vous prête le garçon bien volontiers !

Cyril a dit…

à ne pas confondre avec bitte d'abordage, mille sabords !

Silvano a dit…

Amusant : si vous avez lu mon dernier texte (et de nombreux autres) vous constaterez qu'il m'en faut beaucoup plus pour rougir. Je fus taquin, pas méchant.

Celeos a dit…

Cyril: toute la difficulté est là. Comment aborder un garçon d'amarrage ?

joseph a dit…

un peu d'humour suranné (des années 1970) Pourquoi l'antre de tant de plaisirs est-il appelé enfer? Evident, parce que Satan l'habite!

Celeos a dit…

Vous êtes en verve, Joseph (non ce n'est pas une contrepèterie).

yves a dit…

à propos, j'ai écrit : bite, pardon ! bitte. je suis confus !

Silvano a dit…

Sacré Voseph !