Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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3 commentaires:
Je souris.
Celui-là n'avait pas de numéro...
bien charpenté ce p'tit gars ! j'aime bien quand c'est charnu.
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