Robert de Visée : Passez un excellent dimanche avec ce Prélude en quatre versions !
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
4 commentaires:
Plénitude.
J'aime.
c'est le luth final...
personnellement, je préfère la viole. une douce façon de s'envoyer en l'air... en si bémol majeur...
au fond, tout ça, c'est une façon de portée...
Et zénitude, dans ce monde agité !
Viole et luth sont à déguster en des moments différents ; pour accorder, mieux vaut la viole, en effet. Le luth, c'est quatre heures pour accorder et une heure à jouer faux !
le luth, la lutte perpétuelle pour la justesse, mais la viole à toute gambe alors comme un mouvement perpétuel
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