Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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5 commentaires:
ah ? ouiche. moi aussi Celeos, je regarde où tu es.
C'est vrai, vous êtes vraiment sous le bas de l'image ? :-)
Mais voui, je ne me mens jamais, je suis vraiment là où ses yeux se dirigent !
oui mais si je dirige mes yeux par là je ne vois plus l'écran...
C'est un beau dilemme, Joseph !
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