Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
et je vous le retourne, cher Celeos, en toute humidité.
pour ne pas céder à l'Andy Warhol's évangile de la minute de célébrité! mais l'Humanité ne perd t'elle pas de ce non partage sous couvert de timidité?
Je me dévoue pour lui gratter le dos, moi.
Enregistrer un commentaire