Pour prolonger un peu la nuit et bien commencer la semaine : Charles-Valentin Alkan : Nocturne, opus 22.
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
lundi 20 juillet 2015
Menachem Har-Zahav/Charles-Valentin Alkan Nocturne, Op. 22
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4 commentaires:
C'est toudou...
(Vous remarquerez, au passage, Céléos, mon niveau élevé de critique musicale).
Marie
C'est celui qui convient, Marie !
Un Nocturne le matin, vous n'y pensez pas !
Cela dit, faut que je trouve la partoche, j'aime beaucoup cet avatar chopinien.
Bel avatar, en tout cas !
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