Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

vendredi 31 juillet 2015

Fugue au sol


10 commentaires:

yves a dit…

accelerando
affettuoso
acceso
amoroso
con affetto
ad libitum

The Narrow Corner a dit…

Un virtuose de la flûte à bec, pas du violoncelle...

Celeos a dit…

@ AC : précisons : flûte à bec soprano, doigté baroque !

@ Yves : tempestuoso !

Celeos a dit…

@ AC : est-ce lui dont Conan Doyle avait parlé du dernier coup d'archet ?

The Narrow Corner a dit…

Non, Holmes préférait les hommes mûrs. Pour preuve, il s'était mis en ménage avec un médecin militaire de retour d'Afghanistan.

Enfin, je n'ai jamais été enthousiasmé par la traduction française du titre de cette nouvelle qui se voulait ultime, His Last Bow.

Celeos a dit…

Autant que je me souvienne, Watson ne devait pas beaucoup avoir dépassé la trentaine à son retour d'Afghanistan, mais c'est vrai que les colonies mûrissent le jeune homme ! Que ne l'a-t-il intitulé His Last Rainbow !

The Narrow Corner a dit…

J'aime me représenter Watson sous les traits de Nigel Bruce.

Celeos a dit…

Je comprends mieux ; Martin Freeman me semblait conserver une belle sève, quoiqu'un peu passée...

The Narrow Corner a dit…

Je le trouve très bon dans le rôle, mais le tandem Basil Rathbone/Nigel Bruce a ma préférence.

Le duo idéal est, selon moi, celui imaginé par Sydney Paget pour The Strand Magazine.

Celeos a dit…

Merci de votre indication : les dessins de Sydney Paget m'avaient échappé. Oui, Basil Rathbone était un excellent Sherlock. Depuis, je ne me promène plus le soir dans la lande.