Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
lundi 27 juillet 2015
Clavier estival
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5 commentaires:
ahhh ! un souvenir qui m'revient : nu devant mon gaveau (un crapaud - le piano, bien sûr) jouant la berceuse de frédéric c. pour apaiser mon complice. détente magique. dénouement apaisant.
J'ai la même image, mais en vrai.
Partagez, Silvano !
Mais pourquoi ne joue t'il pas du piano debout?
Bonne question, et ça voudrait dire beaucoup !
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