Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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7 commentaires:
Ça, c'est des pecs' !
Je retiens mes doigts d'effleurer ce bel œuvre !
Cette photo m'émeut. C'est le sosie d'un ami cher, dont je pus un jour plus qu'effleurer les contours.
Je partage votre émotion, Estèf.
C'est alors qu'apparut, tout hérissé de flèches,
Rouge du flux vermeil de ses blessures fraîches,
Sous la pourpre flottante et l'airain rutilant,
Au fracas des buccins qui sonnaient leur fanfare,
Superbe, maîtrisant son cheval qui s'effare,
Sur le ciel enflammé, l'Imperator sanglant.
(Je pousse un peu, mais l'idée est là.)
Mais qu'en vers délicats ces choses-là sont dites
On y voit, on l'entend, le feu qui vous agite !
Je ne me lasse pas de venir le revoir, je vais garder un lien !
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