Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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7 commentaires:
Décidément, ces pauvres Grecs auront été dépouillés de tout.
Et finalement, c'est comme ça qu'on les aime ! (bon, là on n'est plus en Grèce, ce qui montre la contamination...)
(Encore une de mes tentatives d'humour au second degré qui tombe à l'eau, qui coule à pic. C'est pire qu'en Méditerranée ! Bon, ok, je sors. C'est de très mauvais goût. Et déplacé.)
Meuh non, c'est de mon goût, je vous assure (suis-je moi-même suffisamment décalé ? [didascalie]) Cette fois, je vous interdis de sortir, il fallait vous y prendre plus tôt ! (A voix haute, de manière à se faire entendre également du sujet de la photographie).
Il y a fort à parier qu'installé comme il l'est, ce bel éphèbe va être pompé haut.
Croyez vous que cela marcherait comme cubiculum vitae en bas d'une demande d'emploi ?( et en Grèce déjà dénicher une offre est un parcours du combattant , alors comme disait une chanson à propos d'un Mexicain basané ...L'existence est un problème à n'en plus finir
Chaque jour chaque nuit c'est la même: il vaut mieux dormir !)
@Another country : comme vous avez bien fait de ne pas sortir. En même temps, avec pareille injonction, vous n'aviez pas le choix !
@Joseph : autant que d'y joindre une cucurbitacée ; et bonne sieste, Joseph !
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