Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
5 commentaires:
Le plus terrible serait de le faire à contrecourant!
À contre-courant aussi,parfois ramé-je !
Vous ramiez? et bien, bramez maintenant!
On rigole bien, chez vous !
Et plus on est de fous...
Enregistrer un commentaire