Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Il y a du Marcel Proust dans cette manière d'évoquer la nature! Heureux celui qui écrit pour que d'autres réfléchissent!
Merci Joseph, je suis flatté !
Enregistrer un commentaire