Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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3 commentaires:
Et cela passe par le corps, bien-sûr, le moyen le plus simple de ressentir la Vie.
Marie
Oh, que oui !
Attention au piranha qui sommeille en moi.
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