Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Ah, il faut que je la retire de ma "collec'" celle-ci !
mais en attendant rechausse tes godillots, ou viens me rejoindre au dodo, mon doux angelot!
Enregistrer un commentaire