Quelques éclairages sur la question avec les interventions, sur la chaîne Public Sénat, d'Abdellah Taïa, Louis-Georges Tin et Odon Vallet interrogés par Caroline Delage.
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
2 commentaires:
Très intéressant, merci Celeos !
Abdellah Taïa est une personnalité remarquable. Ce débat le montre, bien qu'il se soit laissé prendre la parole par ceux qui sont plus habitués au règles du débat télévisuel (Tin, par exemple).
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