Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
c'est moi qui suis songeur...
je lui conterai bien fleurette...
Si vous contez, j'imagine bée sa belle bouche...
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