Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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5 commentaires:
moi, je sais bien que ma main, je la poserai pas sur son cœur...
Mais alors où ça, Yves ?
à votre avis, coquin de celeos ?
Partout, partout ?
vouiiiiii !
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