Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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5 commentaires:
je connaissais : the shadow of your smile...
J'aime sa part d'ombre.
La part invisible.
Marie
La part de mystère, à jamais inaccessible...
J'y ai vu deux parts de mystère. La part à l'ombre et celle dans le pantalon. J'espère ne pas être trop trivial.
Cher Celeos, tu en étais à l'épuisement de blog, puis â la saturation de Vehemes et finalement tu nous ravis de deux blogs...
Ce que nous cache le tissu d'un vêtement surles reliefs du corps n'est pas sans effet sur le réveil du désir. Ce mystère-là nous fait fondre devant un garçon autant que son sourire...
Avec deux blogs j'ai peut-être trouvé mon rythme de croisière, deux parts d'un même prisme, la troisième restant l'invisible.
Merci de ton encouragement, Estèf.
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