Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
5 commentaires:
Je n'ai pas compris le titre, mais j'apprécie le modèle, c'est l'essentiel.
Il faut parfois donner un peu de travail aux méninges. L'énigme sera résolue demain. Enfin tout à l'heure puisque c'est déjà demain.
Ces zebrures sont les barreaux de sa prison même s'il surveille du haut de sa prison.
Il est condamné a rester dans l'ombre caché derrière ses stores à regardè la vie dehors, mais son cerveau est enfermé dans une cellule de timidité qui l'empêche de vivre....
aurait-il misé sur le mauvais cheval à raies et le laissé piétiner son Jardin ?
Il est possible que le sujet d'Alexandre Jardin ait un sens ici : comment reconquérir l'intérêt de l'être aimé lorsque la routine a érodé les manières d'être à l'autre ?
Y a-t-il une prison dont nous ne soyons pas conscients, et à partir de laquelle il faut surveiller tout geste extérieur qui pourrait être une menace ? Menace de soi pour soi-même ? Peut-être que l'autre, qui arrive après avoir garé sa voiture sera alors celui qui ouvrira cette cellule, chassant la peur et permettant de vivre ?
La vie est faite de tant de choses...
Enregistrer un commentaire