Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
C'est beau à en devenir obsédant. On a du mal à quitter cette image. Je la publierai aussi ; pardon pour ce larcin.
Je vous absous, Silvano. Vous me chanterez trois fois Le temps des cerises, en alternance avec l'Internationale.
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