Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
Vous voilà revenu, mais...polyglotte!
Misère, comment vais-je vous comprendre?
Mais bon, c'est votre blog...je vais me contenter de regarder les photos et là, c'est superbe.
Marie
Simplement ce petit double sens : gardons la tête au frais c-à-d gardons la tête froide !
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