Une lecture imagée du monde des garçons avec des mots fleuris, mais aussi de celui de quelques autres femmes-fleurs…
Un blog de Celeos/Κελεός.
Une décyclopédie en mescladís : des amours, des regrets, un goût de langues et la promotion du point-virgule !
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
mercredi 11 mars 2015
Un rien de classe
« La légère froissure de votre col de chemise,
celui relevé de votre veste n'ôtent rien à votre charme, lequel me fait fondre
d'émoi. »
Eh, oui ! C'est ainsi que j'aime parler aux garçons, qui, je l'ai constaté, n'en attendent pas moins !
Ah, Joseph ! Il faut aller au-delà du regard, et pourquoi pas ? friser quand il le faut la flatterie de ce qui doit l'être, ignorer ce qui doit être négligé...
Oui, la chemise est une des plus belles inventions pour l'homme, et lorsqu'elle est portée sans cravate, un col légèrement déboutonné laissant apparaître un triangle de peau participe des petits bonheurs que j'aime chez les garçons.
4 commentaires:
venant de vous, on ne peut s'attendre à moins! hélas moi je n'utilise souvent que le regard et ne récolte que moquerie pour ne pas dire plus!
Ah, Joseph ! Il faut aller au-delà du regard, et pourquoi pas ? friser quand il le faut la flatterie de ce qui doit l'être, ignorer ce qui doit être négligé...
Je serai plus terre-à-terre : vive la chemise (même à col froissé), à bas les ticheurtes informes et uniformes.
Oui, la chemise est une des plus belles inventions pour l'homme, et lorsqu'elle est portée sans cravate, un col légèrement déboutonné laissant apparaître un triangle de peau participe des petits bonheurs que j'aime chez les garçons.
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