Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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1 commentaire:
quelle idée aussi d'aller se frotter ainsi contre un mur ! encore des lamentations en puissance ! et tout ça, pourquoi ? pour prier ? pour supplier ? et finalement pour quel résultat ? j'aurais vraiment le sentiment de parler à un mur...
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