Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
samedi 13 février 2016
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2 commentaires:
curieusement ce cliché me répugne. trop net, trop de chair ? pas grave.
bof ! je retourne à mes livres...
ah ! ça y est. j'ai la tête calée sur du "plus confortable", ceci explique cela. désolé.
Ah non, le regard de Robert Mapplethorpe n'est pas confortable. C'est un regard surpris, choqué par le corps, et il va chercher ses images au-delà des assignations à ce que d'autres appellent le bon goût.
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