Lou Reed - Walk on the wild side
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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6 commentaires:
Et voilà ! Je supprime donc le billet strictement identique (sauf le titre) que j'avais programmé avec cette même vidéo !
:)
Bon, une fois de plus nous nous retrouvons sur des pensées semblables, si nos sources sont sans doute de même provenance !
c'est curieux : je n'ai jamais été séduit ou attiré par cette génération de "révolutionnaires" ni accepté les "choix de vie" de ces gosses riches qui ont voulu soi-disant sortir de leur "torpeur". au fond, ils s'emmerdaient, un point, c'est tout.
sans doute, mon côté terre-à-terre ou l'éducation des oratoriens qui pointe son nez malgré moi. je déteste toutes ces formes de destruction sous couvert de création artistique. fi ! d'un goût fort douteux, mon prince.
oh ! je me la pète ou quoi ?
Sans vous la péter, Yves, il faut revenir à cette époque, déstabilisante, et sans doute elle-même destructrice, qui a laissé nombre de jeunes sur le carreau. Ce n'étaient pas tous des riches. Et leur expression, en décalage avec les carcans des sociétés est le reflet en négatif de la vie d'alors. C'est Jack Kerouac (un ancien breton !)qui donne le ton, le beat, de cette génération, qui subit l'étouffement de l'industrie, de la crise des "valeurs", etc. Ils s'emmerdaient ? Oui, sans doute, comme Rimbaud, Baudelaire, Proust, tous les peintres et tous les artistes dont beaucoup n'étaient pas encore gay s'ils étaient déjà homosexuels et dans l'incapacité de se reconnaître dans les cadres qu'on leur proposait... Vaste sujet! Nous ne l'épuiserons pas ce soir !
ok prof' !
j'vais faire cent lignes.
Non, juste relire Kerouac, Sur la route . J'en connais peu qui l'ont lu jusqu'au bout !
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