Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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8 commentaires:
Dommage pour le cadrage !
mazette ! c'est pas mon Erwan quand je lui fais un 'tit récital : plus discret, moins nu... quoique son âme !...
@Estèf : pourtant je t'assure, on voit le coude droit en entier !
@Yves : Curieux de vous entendre chanter !
rêve d'infirmier: je panse donc je suis!
@Joseph : et la pensée est nourrie des nombreuses blessures reçues !
non, piano seulement. Brahms, Schumann, Bach, Mozart, Haendel, pas chopin qui m'ennuie...
Décidément, que de monde au piano...
et oui , on m'avait dit naguère, que je serais un tombeur, et c'est réussi, quand je compte les cicatrices!
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