Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
je gage que ce réfugié trouverait asile, ou me trompé-je?
Voulez-vous bien le prendre chez vous, Joseph ? Sinon je me dévouerai...
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