Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

vendredi 11 mars 2016

Note sensible ?


4 commentaires:

yves a dit…

depuis quelques temps, tout ce que vous écrivez me rend triste et ma mélancolie se transforme en besoin de vide, de fuir, d'arrêter les frais !
tout ça me donne envie de cesser de participer à cette folie que l'homme se complait à poursuivre : vivre.
je suis lassé de supporter depuis des décennies ces turpitudes humaines. tout cela ne rime à rien. mon passage ici-bas ne valait pas un clou. il me reste mon compagnon de route et le piano...
mon dieu, j'allais oublier le chat : bagadou surnommé 'gadou lors des bêtises.
pardon.

Celeos a dit…

Je suis un peu sans voix, Yves. Notre monde ne nous renvoie pas toujours de très belles choses et pourtant ! Il y a autour de nous de très belles personnes sachant aimer, donner, émouvoir. Il y a, en ce moment dans mes Cévennes, des bourgeons timides qui éclosent, fragiles et donnent des fleurs magnifiques qu'on devine dans la nuit de ciels étoilés qui rendent le sourire, et si vraiment on n'est pas convaincu de la beauté du monde, il reste à aller voir le gros Zibou dans la forêt et écouter sa grosse voix raconter les premiers matins du monde. Mon chat à moi est très jaloux de lui. Il a bien tort, lui qui en sait tout autant !

joseph a dit…

cela me rappelle le piano transformé et autres joyeusetés inventées par Glenn Gould par exemple et aussi mais il y a longtemps-vers 1975 ?- j'ai entendu parler d'un transformateur de piano qui électrifiait une corde pour qu'une note devienne "mortelle"?

Celeos a dit…

Il y a de beaux projets de films fantastiques à faire là ! Boy George rêvait, m'a-t-on dit, d'un garçon en Cage...