Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

dimanche 6 mars 2016

Là où verdit une profonde forêt


5 commentaires:

yves a dit…

jardin, forêt...
très nature not' celeos ces temps-ci !
vous avez raison. mes pérégrinations-balladesques nous rapprochent. j'aime bien savoir qu'un être, quelque part, partage les mêmes goûtsque moi, ça me fortifie !
je m'épate ! je m'épate, c'est dingue !

Celeos a dit…

Restons prudents: les forêts fraichissent ce soir; les draps seront plus douillets sur nos tendres peaux...

joseph a dit…

N'y a t'il que le printemps qui pointe....le bout du nez?

Celeos a dit…

Pour le savoir, il faut entrer dans la forêt magique et faire le tour de l'arbre où habite le gros zibou et lui demander: doutes-tu, gros Zibou ?
S'il répond: " Oh, oui, le doute m'habite !,alors il est possible qu'il n'y ait pas que le printemps qui pointe son nez...

yves a dit…

seigneur ! peux-tu prendre celeos sous ton aile protectrice quelques temps ?
merci, mon gars. on te le revaudra.
et Joseph qui dit rien !!! lui aussi, seigneur... les deux pour le prix d'un !?