Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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10 commentaires:
ahhhh ! la belle literie que voilà !
2 oreillers bien gonflés, mais... le traversin ? ah ! dessous.
do not disturb.
Doucement, il dort ! Dorlotons-le chacun son tour...
Je ne peux m'empêcher de citer (à mauvais escient) les frères Goncourt : "L'homme est lâche dans le rêve, dans le réveil, dans les pensées du matin, dans les cogitations du lit. Il est lâche dans la position horizontale."
(Mais quel beau cul !)
Oui, on en mangerait ! Mais je vous laisse les Goncourt.
Un suppo et au lit.
(Désolé, Celeos. Je vous promets d'être sage pendant au moins une semaine.)
(Comme disait ma regrettée grand-mère, l'oisiveté est mère de tous les vices.)
Suppôt de ça tend alors!( je sors avec une autre région vers d'autres paysages lunaires accueillant au réveil)
C'est fou comme ces vagues de dunes sont attirantes en ces temps estivaux.
Eh bien, messieurs !
Il était temps, Silvano !
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