J'avais évoqué, il y a peu de temps, avant la date anniversaire, ce tragique événement qui conclut la Seconde Guerre mondiale. C'est ici : clic
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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7 commentaires:
feriez-vous un copié-collé avec l'excellent blogger another country ?
j'y ai tout dit. néanmoins, l'Histoire est un éternel recommencement. sauf, les guerres permanentes prennent un "visage" de plus en plus abominable, cruel... vous allez rire : surtout là, il n'y a même plus de règles. déontologie n'est pas adapté à ce contexte évidemment.
tout de suite, seul le silence m'apaise. ensuite, je pose mes mains sur mon piano et... je laisse courir.
curieux animal que l'humain : nous offrir un Mozart et du nucléaire...
bon, vous avez 4 heures : après, je ramasse les copies !
Non, Yves je me garderais bien de copier qui que ce soit ; mais nos blogs, à quelques uns, convergent vers des préoccupations du même ordre. Si vous remontez dans le temps, vous verrez sur mon blog des références à ces mêmes interrogations sur la nature humaine collective. C'est pour cela que que l'art nous est indispensable : musique, arts visuels nous permettent d'exprimer autrement l'indicible, sans hélas rien résoudre de la barbarie, d'où qu'elle vienne.
Vous voyez, je n'ai pas besoin de quatre heures ! Salut à vous.
Il faut des siècles aux arbres pour devenir majestueux, des années de présence affectueuse et bienveillante pour aider un "homme" à grandir...et quelques secondes pour les faire tomber au sol.
Bien sûr, il y a l'art pour nous aider à vivre et j'ai la faiblesse de croire, l'Amour pour se tenir la main.
Marie
Rien n'est plus fort, en effet, que la pulsion de mort. Il paraît que le gingko biloba a appris à résister aux bombardements thermonucléaires. Diffuse-t-il assez d'amour pour les besoins du genre humain ?
Cet article du NYT en date du 8 août 2015 ouvre des perspectives qui ne manqueront pas d'alimenter votre réflexion, mon cher Celeos :
On 70th Anniversary of Nagasaki Bombing, Atomic Debate Yields Little Consensus... A méditer.
Effectivement, AC, les opinions étasuniennes semblent partagées. Les hypothèses du « non lieu », d'ordre casuistique, sont aussi pertinentes que l'emploi de la gégène pendant la guerre d'Algérie. Rien aujourd'hui ne peut faire que l'événement (et tout ce qui l'a précédé) n'ait pas eu lieu, que le goût de la démesure entre dans la logique de la modernité comme principe de gouvernance des sociétés.
70 ans après "les faits", les arguments n'ont pas changé. Ils rejoignent même et prolongent les points de vue défendus dans leur pétition avortée par les scientifiques du Projet Manhattan opposés à l'utilisation opérationnelle du "gadget".
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