Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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5 commentaires:
cela faisait chic, oh, et l'autre grouchyssait de plaisir!
Je vous constate également marxiste, Joseph !
Groucho et son éternel cigare se cachent derrière la partie la plus large de la cravate.
Désolé.
Si on ne voit pas la fumée, on en devine la moustache.
Mais que me faites-vous dire, Silvano !
je fus traité en un temps " banquier communiste" , et vous m'avez, damned, percé à jour!
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