Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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3 commentaires:
san Francisco, qui me faisait tant rever en 67 et 68 ....pour les jeunes skatters dans les rues en pente ... complement d'un James Bond de haute volée" on ne vit que deux fois"
Beau gosse !
Joli chéri (bibi).
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