Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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1 commentaire:
Oh oui, j'ai vu les affiches, à Rome. Va falloir que j'y prenne un pied-à-terre, si ça continue...
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