Les références aux beaux-arts sont innombrables pour ce spectacle magnifique de Dimitris Papaioannou que j'ai vu mardi à Avignon à la FabricA, beau lieu de résidence artistique qui devient une magnifique salle de spectacle pour le Festival d'Avignon.
The great tamer est une fresque qui reprend le rapport des hommes au sacré et au profane, ce rapport passant indiscutablement par l'art. Singulièrement en Grèce, où l'archéologie reste omniprésente. La grande stratification de l'histoire, dans laquelle se superposent les regards sur le monde, se rapporte encore et toujours à la manière dont le corps est ce par quoi notre relation aux autres et au monde s'établit. Le sujet reste inépuisable.
Voici le beau papier écrit par Anne Diatkine dans Libération : ici.
The great tamer est une fresque qui reprend le rapport des hommes au sacré et au profane, ce rapport passant indiscutablement par l'art. Singulièrement en Grèce, où l'archéologie reste omniprésente. La grande stratification de l'histoire, dans laquelle se superposent les regards sur le monde, se rapporte encore et toujours à la manière dont le corps est ce par quoi notre relation aux autres et au monde s'établit. Le sujet reste inépuisable.
Voici le beau papier écrit par Anne Diatkine dans Libération : ici.
Voici, du même tonneau, créé en 2012, Primal matter d'une grande force créative : il s'agit de déconstruire et de recontruire différemment les éléments d'un corps, d'une matière primale, en effet. Le spectacle d'une durée de dix-sept minutes est ici intégral. The great tamer sera représenté dans différentes villes européennes principalement. A ne pas manquer, évidemment, le spectacle vivant restant de loin d'une dimension bien plus sensible, à tous points de vue.
2 commentaires:
Je suis jaloux ! Je suis un fan de papaioannou. Moi qui pensait le trouver Dans sa terre d origine . Καλές διακοπες
Ευχαριστώ Αρθουρο! Επίσης.
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