Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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3 commentaires:
Parfois on aimerait, face à la violence du monde,.... comment ne pas penser à cette heure à l'horreur perpétrée à Nice ? et ce bel homme qui semble nous dire " O temps suspends ton vol..."
Un 4 bien allongé, mais agréable :)
Un onze n'aurait pas été mal non plus ;-)
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