Dure fin de printemps. J'ai pu arriver à la deadline du projet que je conduisais dans les temps et avec les objectifs qualitatifs que j'avais choisis. Pour autant, tout se paye : notamment la fatigue, le sacrifice d'autres activités, l'interrogation sur le devenir des futurs projets, et la capitalisation des projets en cours. Il faudrait avoir davantage de lattitude, pouvoir travailler sur une programmation à long terme dans laquelle se dégagent les véritables cohérences des actions que l'on mène. Hélas, cette manière d'agir n'est plus à la mode. On travaille dans l'instant le plus souvent, dans le caprice des décideurs.
Grosse fatigue, du coup ; le blog s'en ressent, et je n'ai même plus le temps d'aller faire mon marché sur le Net rechercher de beaux garçons...
J'emprunte celui-ci à mon copain Ĵeromo Tanguy, de Gejaj rakontoj en Esperanto
que vous pouvez trouver dans ma liste de blogs amis, c'est toujours un ravissement,
mais je suis très amusé par cette photographie, façon très années 1960, où se dessinent tous les contours de ces petits mecs gouailleurs et machos dont l'Italie, notamment, avait le secret... Il n'est sans doute pas sans rapport avec le billet d'hommage que je prévois pour demain...
1 commentaire:
comme je voudrais avoir une telle activité par temps de mollesse...
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