Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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3 commentaires:
"...Il n'y a plus d'apprêt à saint Germain des prés ..."et les tailleurs et tisserands envient les artistes de tout poil !
Personnellement, j'aime l'avant, le pendant et l'après.
Mais évidemment, cela dépend de quoi on parle ; chez le dentitste, par exemple (ou tout autre médecin farfouilleur), je n'aime que l'après.
Marie
Après est le moment de l'aube qui permet l'espoir du retour.
Ou tout le contraire !
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