Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

jeudi 27 octobre 2016

Le Refuge

Cet extrait de documentaire a déjà quelques années. Que sont devenus Gildas et Julien son fiancé ? Je ne sais pas. Je leur souhaite beaucoup de bonheur. Mais les problèmes qui sont ici soulevés ne semblent pas vraiment avoir disparu. Il faut encore en parler, redire les choses au-delà des fantasmes et des peurs irrationnelles de l'autre, quel qu'il soit.


3 commentaires:

Anonyme a dit…

Ce genre de rejet m'est absolument incompréhensible.
Je ne peux m'empêcher de penser que ceux qui se ferment à ce point à l'amour, rejettent violemment une part d'eux même...se faisant ainsi violence.
Le cercle de la haine devient alors parfait.
Souhaitions qu'un jour, il se fissure.
Marie

Celeos a dit…

Le premier des rejets est parfois une projection de soi, parce que ce que l'on croit être est mis à mal par le miroir des autres. Le jeu des apparences est difficile à briser, encore et encore...

Anonyme a dit…

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