Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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4 commentaires:
mouais. c'est vrai que parfois j'enverrais bien tout valser par-dessus le toit. monter dans mon rafiot, vogue la galère... avec un peu d'chance, ça pourrait couler...
ces temps-ci, j'ai des bouffées de meurtre.
y'a un blogger américanophile qui m'gonfle. prétentieux...
allons bon, v'là que j'm'aigris. déjà que ch'uis pas ben épais !
désolé de m'abandonner... j'vas m'déguster un Gougaud, tiens !
allez, à vos plumes, les apaches ! faites-moi donc rire. je déteste ces périodes de festoiement.
Un peu de zénitude Yves : un peu d' Italie ou de Grèce, avec ou sans bateau, fait le plus grand bien !
si ce n'est pas une référence poétique, c'est bien imité !
si bleu, si calme...
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