Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

lundi 21 décembre 2015

Danish Girl

Ça sort le 20 janvier, et j'irai bien sûr le voir. Ne serait-ce que pour Eddie ! Et accessoirement Ben Wishaw...

5 commentaires:

yves a dit…

dit' donc, Celeos ! z'aimez les roux un peu sac d'os ? non, passe qu'on pourrait peut-êt' faire affaire...
moi, pour ce que j'en dis...
bon, ben, j'arrête de déconner. c'est plus fort que moi, faut toujours que je me fasse remarquer.
sur ce, j'm'en vas faire mon sac de marin pour embarquer, histoire de fuir toutes ces festives agapes qui me soûlent.
sinon, je cherche un mousse dégourdi. (et un retour de flammes).

Celeos a dit…

En fait, si j'aime certains blonds vénitiens, ce sont surtout les Méditerranéens qui me font craquer. Sinon, je suis comme vous, les sapins de Noël me donnent des boutons...

Anonyme a dit…

Noël,
Le premier des mensonges fait à nos enfants?
La première illusion perdue?
Ou alors un pauvre moyen humain d'enchanter le monde?
Peu importe.
Je n'aime pas cette période de joie fictive mais je souhaite à chacun de recevoir en présent un véritable sourire et un vrai tendre regard, celui qui fait croire en l'autre et en soi.
Marie

Celeos a dit…

Marie, ce n'est sans doute qu'un peu d'espoir en davantage de lumière du coeur que l'on fait coïncider avec celle qui revient après le solstice d'hiver. Il suffit alors d'ouvrir les coeurs, les fenêtres, les portes, les frontières pour que la vie soit un peu plus souriante. Peut-être...

yves a dit…

alors là, c'est l'affront !
"surtout les Méditerranéens qui m'font craquer".
dès mon retour de copenhague, je lance tout ce que je connais de roux CELTIQUE à vos trousses.
vous allez voir quelques blonds vénitiens, du Celte pur ! z'allez pas vous en remettre.
bon, j'arrête de blaguer. mais j'en ai tellement supporté, gosse, sur ma couleur et ma peau que... je vois rouge.
blond vénitien, tut tut tut, vous m'en direz tant, galopin !