Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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5 commentaires:
Effectivement très "Music on the beach".
j'avoue que je peux me jouer cette musique durant des heures au piano. pour moi, cet air fait partie de mon panthéon. curieusement, je pourrais - à l'extrême limite, et encore je n'ose penser à ce que mon entourage subirait - me passer de lire, mais de la musique ? plutôt mourir.
demain, invité chez des amis à copenhague, j'appareille sur mon voilier (du calme, pas un paquebot, juste un rafiot qui vogue sans couler pour 4/5 mousses), ma première pensée : qu'est-ce que j'emporte comme cd.
et à chaque fois, je me contente du silence de la mer et du vent ! la plus belle musique.
bon vent à tous. joyeuses fêtes.
Bon vent, et joyeux siréniens, Yves !
tout permettre au nom de l'art?
Il peut y avoir, peut-être au nom de l'art, une perversité allant jusqu'à l'horreur. L'esthétique est parfois un prétexte justifiant bien des choses...
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