Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

vendredi 28 novembre 2014

Intermittences du coeur


Stéphane Haffner et Emilio Simeoni - Photographie de David Vance - 2013




Proust ou les Intermittences du coeur - Mathieu Ganio et Stéphane Bullion


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Bouleversant langage des corps.
Ici, transcendé bien sûr.
Mais qui nous accompagne de la naissance à la mort.
Des premiers instants de la vie où nous n'avons encore rien d'autre aux derniers instants où nous n'avons plus rien d'autre.
Langage où se concentre notre humanité, en silence.

Marie

Celeos a dit…

Oui, Marie, ce langage des corps reste d'une inexprimable émotion, celle d'être son propre corps, et dans le sentiment d'être également le corps de l'autre. Réminiscence d'un instant originel peut-être.