Pour s'échapper un peu des commentaires post électifs de notre trentenaire providentiel je vous propose ce petit régal, certes connu, mais très bien servi par ces deux jeunes gens : Eurydice Vernay et Vincent Forestier. Je ne vous précise pas qui est au piano et au violon...
Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
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2 commentaires:
Tu mets donc à la création lexicale !
Avec les belles propositions qu'on me suggère !
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