Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
avant même de courir, je suis déjà essoufflé...
...et la langue pendante ?
le mieux est de courir hors des sentiers battus!
Enregistrer un commentaire